mercredi 12 août 2009

Procès Sidi Ould Salem / Points Chauds : la Cour prononce le verdict en faveur de la publication du journal





la Cour prononce le verdict en faveur de la publication du journal.

L’affaire qui a fait couler beaucoup d’encre et de salive dans la capitale mauritanienne et même au-delà vient de connaître son épilogue ou à tout le moins partiellement.

La cour vient de prononcer sa sentence en acquittant aujourd’hui les mis en cause à savoir la Directrice de publication de Points Chauds Ezza mint Mmoulay El Hacen et son Directeur généralMoulay Najim Ould moulay Zeine dans ce qui est communément appelé le scandale de laSOCOGIM dont le journal avait révélé des manquements notoires liés à des dysfonctionnements au temps où Sidi Ould Salem dirigeait cette entreprise d’Etat.

Par cette accession la publication avait présenté , au cour du procès ,des preuves compromettants (voir les preuves )à la partie civile. A souligner que plus, les avocats de la défense de la publication déposeront un recours en appel partiel pour que le préjudice subi soit aussi dédommagé à hauteur de trente millions d’Ouguiyas.

Le recours sera introduit dans les tous prochains jours pour que définitivement qu’il y’ait un dénouement heureux et montrer à tel point la publication du journal Points Chauds tient au respect scrupuleux de la bonne gouvernance mais aussi et surtout aux règles désormais devenu un sacerdoce quant au professionnalisme et à l’esprit de déontologie et d’éthique qui caractérisent tout espace de média qui se veut respectueuse et soucieux de l’intérêt supérieur de la nation.

C’est d’ailleurs la raison pour laquelle les professionnels de l’information qui travaillent au journal Points Chauds ne peuvent en aucun cas déroger à cette règle sacro saint quant au travail journalistique dont ils sont rompus avec sérieux et dévouement.

Il est aussi à noter que Points Chauds comme à l'accoutumée, a toujours été victime d'esprits malveillants, en se voyant plusieurs fois traîné malencontreusement en justice, sans jamais fléchir, et à chaque fois, les responsables du journal présentent leurs preuves pour défendre les allégations inhérentes et sortent la tête haute, en gagnant tous ses procès.


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4 commentaires:

  1. C'est du n'importe quoi, Mint Mouknass Ministre des affaires étrangères, une insulte pour les Mauritaniens. Aziz avait du mal à former son gouvernement. Nous sommes consternés par le quota des noirs.

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  2. Je crois ce gouvernement est un rêve, qu'aziz est en train de tester les mauritaniens pour voir la réaction de ses électeurs. Mint mouknass n'a aucune formation, les affaires étrangères sont pas une affaire de famille pour qu'elle hérite de son défunt père le même ministère. Ce pays connaitra-t-il un jour la paix et la justice ou changera-t-il un jour ? Toutes les questions se posent.

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  3. Certes, un ministre a une durée de vie limité, voire-même très limitée pour le mauritanien, mais l'équité dans leur désignation est un baromètre des dispositions du locataire à rompre avec certaines habitudes. On admettra que sur ce plan on est restés sur notre faim.
    SADA

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  4. Demba DIANKHONTE ddiankhonte@yahoo.fr13 août, 2009 01:58

    Oui Sada a raison, nous sommes sur notre faim. Mais peut-être que Aziz saura surprendre positivement. Jeune Afrique, dans sa dernière livraison confirmait le rôle éminent joué par le Sud dans les présidentielles de 2009. Jamais présidentiable n'aura bénéficié d'autant de préjugés favorables. Presque un chèque en blanc de populations qui ont cruellement souffert du système raciste mis en place depuis 1960. Leur espoir ? Une libération totale des chaînes de l'injustice, un rééquilibrage des responsabilités et aussi, le démantèlement du racisme d'état.

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